vendredi 28 mars 2014

Le poison de la jalousie.

Crédit photo : Anita Huber Photographe 
C'est par deux fois que j'ai gouté au poison de la jalousie dans une relation amoureuse. Avant de penser que je n'apprends pas vite ou que c'est mon pattern, je précise qu'il y a plus de 15 ans entre les deux relations*. J'ai eu le temps d'oublier un peu et d'espérer beaucoup. Mais, encore bien plus important, il faut comprendre  ce n'est pas le genre de comportement qu'on remarque dès le premier jour. Combien de fois j'ai entendu "Mais qu'est-ce que tu faisais dans une relation comme ça, avec un gars comme ça?" et chaque fois je disais "Mais il n'était pas comme ça au début!"*.

*Déjà, v'la  un comportement typique de la personne prise dans une relation de jalousie, se justifier à tout bout de champ...

La jalousie, c'est malsain mais surtout, c'est très insidieux. Sortir avec quelqu'un de jaloux, c'est comme prendre du poison : si tu prends une goutte tous les jours, tu ne seras pas malade demain matin. Mais tu te sentiras un peu plus mal chaque jour, sans jamais comprendre pourquoi. Puis, un (pas) beau matin, tu ne peux plus te lever, tu te sens mal de la tête aux pieds en passant par l'âme et tu n'as aucune idée pourquoi. 

Certaines personnes affichent probablement des comportements de jalousie dès les premiers instants et tant mieux, quelle belle occasion de courir dans l'autre direction! Retournez-vous même pas, courez. Mais en général, ça apparait petit à petit, comme une photo très floue qui se révèle un peu plus chaque jour mais que tu mets souvent beaucoup trop de temps à distinguer. Jusqu'au jour où ça devient gros comme un éléphant et que tu réalises que tu es pris dans une relation dont tu étais la première à dire "Ben voyons donc,  quelle relation épouvantable, veux-tu ben me dire pourquoi elle part pas, moi, ça ferait longtemps que j'aurai sacré mon camp!" quand tu en entendais parler.

L’histoire de la jalousie

Il était une fois c'est beau comme ça s'peut pas. Il est gentil, il est plein de petites attentions,  il est galant, romantique, il te traite comme une princesse, que dis-je, une reine, et les hormones de l'amour te font tout voir en rose. Alors tu remarques à peine les petite phrases à saveur de jalousie qui parsèment parfois ton quotidien amoureux.

 " T'es belle habillée comme ça babe. J'te dis que tu vas faire tourner les têtes ce soir!".

Tu te dis que c'est mignon.  Surtout le petit clin d’œil qu'il rajoute à la fin. Tu te vois à travers ses yeux et tu te trouves tellement belle. 

Aucune problème avec cette phrase là si ce n'était qu'elle évolue et que six mois plus tard, elle devient quelque chose qui ressemble plutôt à :

"Tu vas y aller là habillée comme ça? Ouin!! J'te dis que tu vas te faire cruiser solide. Tu vas vraiment mettre ça??"

Le tout avec pas de clin d’œil à la fin. Tu te dis qu'il est un peu jaloux. Awwww, c'est donc ben cute. Il est tellement amoureux de toi, la preuve! Il ne veut pas te partager et encore moins te perdre!

Et un an plus tard, c'est devenu :
"Tu vas pas là habillée comme ça. Franchement, t'es tu vue? T'as presque l'air d'une pute.".
Non seulement y'a même pas un petit sourire à la fin mais y'a un genre de face de dégout pas l'fun. Tu te regardes dans le miroir et tu te demandes si t'as vraiment l'air d'une espèce de fille cheap facile vu que c'est exactement ce que sa face te renvoyait et  tu contsates que non, pas pantoute. 
Mais d'un autre côté, s'il le dit...

On est d'accord que rendue là tu devrais changer de chum. Mais à la place, tu changes de vêtements. Parce qu'il a le don de te faire croire qu'il dit ça parce qu'il t'aime, qu'il veut te protéger, qu'il fait ça pour toi. T'as presque l'impression qu'il vient de t'épargner de te faire crier "Guidoune!!!" en plein lieu public. Presque. Parce que tu es encore un peu saine d'esprit, que tu as un miroir et un cerveau  et tu le sais que non, tu n'es pas habillée comme une guidoune.

Au début, quand tu sors avec tes amies de fille il te dit qu'il trouve ça super cool, que c'est important les amies, il vous souhaite une belle soirée et te dis qu'il va en profiter pour sortir avec ses chums de son bord. Quand tu reviens, il est déjà là, il n'avait plus envie de voir ses amis. Il te dit que tu rentres pas mal tard et te demande, à la blague "Alors, tu t'es fait cruiser pas mal?" avec une petite tape coquine sur les fesses.

Après quelques mois, quand tu pars avec tes amies il dit " Unetelle, qui est célibataire, elle va être là?" et il est déçu quand tu dis oui. Il dit qu'il espère qu'elle t'entrainera pas dans ses histoires de cruise, en riant, et te demande de ne pas rentrer trop tard parce qu'il va s'ennuyer de toi. Tu trouves ça cute. Et quand tu reviens, moins tard que la dernière fois, il trouve ça, bizarrement, encore trop tard. Il trouve aussi que tu sens l'alcool. Il te lance un " Ouin, j'te dis que ça a fêté fort. Pis j'imagine que tu t'es faite cruiser solide?". Tu lui dis que non, tu te justifies, tu lui rappelles que t'as pas conduis tu peux ben boire un peu, tu le rassures, tu lui dis que tu l'aimes, tu te dis que c'est de l'amour un peu tout croche mais qu'il t'aime.

Puis, après environ un an, il n'est clairement pas chaud à l'idée que tu sortes avec tes amies. En fait, c'est pas mal toutes des guidounes à l'entendre. Tu y vas quand même, parce que t'es une grande fille, tu fais ce que tu veux, c'est pas comme si tu t'en allais aux Gogo boys! Et même si tu y allais, voyons, il le sait bien que tu n'aimes que lui, et t'as le droit de voir tes amies quand même!

Durant la soirée, il te texte.  Souvent. Il t'attend. " T'es où babe???". T'es où tu es supposée être mais ça ne semble pas la bonne réponse parce que la bonne réponse, et ça aussi tu vas le comprendre plus (trop) tard  c'est " Je suis ici à côté de toi à la maison". Et le "babe" après c'est pour te donner l'impression que c'est de l'amour tout ça. Un peu comme dire " Je t'aime, salope" mais à peine plus subtil.

Durant ta rare sortie, tes amies te demandes de lâcher ton cellulaire (probablement parce que tu pâlies un peu plus à chaque texto), elles te demandent d'arrêter de regarder l'heure, elles ne comprennent rien (ou trop) quand tu quittes vers 22h, toi qui était the life of the party avant! Toi tu trouves au contraire qu'il est tard parce que tu le sais maintenant que passé 21h, t'es dans'marde.

Quand tu reviens, et il n'a pas bougé du divan, même s'il t'avait promis de sorti de son côté cette fois-ci . Tu avais insisté, surtout pour éviter d'avoir l'impression qu'il attend après toi. C'est plus tard que tu vas comprendre que c'est exactement pour ça qu'il ne sortait pas. Pour que tu te sentes coupable de le laisser seul.pour être sur que même quand tu pars pour essayer d'avoir du fun, tu n'en auras pas. Pas sans lui. Jamais.

Quand tu le vois assis dans le salon, y'a 3 ou 4 verres vides devant lui, il sent le gin et la colère. Il était pas chaud à l'idée que tu partes, il est chaud quand t'as la mauvaise idée de revenir. Il vient sentir ton haleine et te lance un " T'es saoule! Tu pue la boisson. Pis habillée de même, avoue que tu t'es fait cruiser pis que t'aimais ça. Tu peux me le dire, ça me dérange pas." Là, y'a plus de petite tape sur les fesses. Tu le sais pas encore mais un jour, tu vas passer pas mal proche de la tape su'a yeule par exemple.

Tu n'as pas bu autant qu'il l'imagine, tu n'as certainement pas cruisé et tu ne mérites pas cet accueil de marde. En plus, tu le sais que tu vas te coucher à côté d'un gars fâché qui va probablement te faire la gueule et avoir la gueule de bois toute la journée de demain.  Demain est pas encore  commencé que c'est déjà une journée que tu veux oublier.

Alors tu te dis que tu ne sortiras plus. Avec un accueil comme ça anyway, t'as plus envie d'aller nulle part. C'est rendu que même quand tu vas au dépanneur il te demande pourquoi tu te mets du mascara. Parce que oui, tu est sûrement en train d'avior une histoire intense avec le livreur en bicycles à pédales. c'est n'importe quoi alors tu sors plus sauf si t'as pas le choix et si tu peux l'emmener. Et quand tu fait ça, et bien il a gagné, tu es détenue dans la prison de la jalousie. Parce que c'est exactement ça qu'il voulait. C'était peut-être pas conscient, c'est pas un plan élaboré depuis le jour 1 mais c'est ça pareil. Et là, tout devient platte avec toi. Ton linge, ta vie, tes histoires, tes sorties, c'est platte et tu es platte. Mais au moins il ne fait plus de vague, alors tu te dis que c'est pas si pire dans le fond.

Tu parles de moins en moins de ta relation parce que t'as un peu honte. Tu écoutes à peine ce que tes amies te disent sur ton chum et ce que tu es devenue parce que tu te dis qu'elles ne peuvent pas comprendre, et tu ne t'écoutes pas toi non plus parce qu'en fait, tu le sais qu'elles comprennent bien trop. Tu ne regardes pas l'évidence qui est en jaune fluo dans ta face : tu es avec un jaloux qui est en train de te ruiner la vie. À la place, tu préfères regarder les fleurs qu'il t'as acheté ou les photos du voyage qu'il t'a payé. Il t'aime tout croche, mais il t'aime. C'est des preuves ça. Non?

 
Ben non. Parce que ça ne s'arrête jamais. Au contraire. La jalousie, c'est tellement un poison que même quand tu ne fais rien, tu es dans la marde. Dès qu'il n'est pas là, il s'imagine des choses. Même à tes côtés il imagine des regards et des histoires.  N'importe quel câlin à un vieil ami devient louche, le moindre petit sourire à un beau garçon donne droit à un sermon et/ou une engueulade. En fait, le plus simple serait que tu ne vois ni ne parle plus jamais à des gars entre 18 et 58 ans. Ni aux femmes lesbiennes, juste au cas....

Et tu te rends compte que tu ne sais pas trop comment c'est arrivé mais la fille pognée avec le gars jaloux, ben c'est toi. Tu le sais que mettre fin à tout ça va te donner droit à une crise qui te fait vraiment peur. Il va te dire qu'il s'en veut, que tu as raison, qu'il va changer, et tu le crois. Et tu reste. Et ça passe...et ça recommence. Parce que ça ne s’arrête jamais, pas sans une sérieuse thérapie en tout cas. Ce n'est pas toi le problème, c'est lui.  Il chie sur la parade de ta vie avec son manque de confiance en toi mais en fait, tout ça c'est le résultat foireux de son manque de confiance en lui.

Et un jour, tu n'en peux juste plus. Tu n'es plus toi-même et lui, il est loin d'être le gars dont tu es tombée amoureuse. Probablement parce que ce gars là n'existe pas, ou juste caché loin loin loin dessous le spectre de la jalousie.

Alors tu prends ton courage à deux mains et tu le quittes. Il capote quand il se rend compte que sa tactique de faire pitié et de se faire passer pour une victime ne fonctionne pas cette fois-ci alors il part dans l'autre direction, plus naturelle, et te crie que tu est une Fucking bitch, qu'il l'a toujours su que tu le trompais, allez avoue que c'est pour un autre gars que tu le laisses, avoue, avoue AVOUE DONC TABRANACK!!!

Tu fais presque dans tes culottes mais tu le quittes quand même. Parce que c'est pas vrai que ta vie va arrêter pour quelqu'un qui ne va pas bien. Toi tu veux aller bien. Tu as le droit d'aller bien. Tu le quittes, mais pas pour un autre gars, juste pour une personne tellement importante, celle qui t'es réellement tout à fait indispensable. Tu le quittes pour TOI.


"L'amour fait naître la jalousie, mais la jalousie fait mourir l'amour"
Christine de Suède





vendredi 21 mars 2014

L'amour dans l'sud!

à Luperon, République Dominicaine
J'avais un ex du type extraordinaire. On s’était connus via un ami commun et on avait cliqué très rapidement. Après quelques semaines de fréquentation qui me rendait aussi heureuse que comblée, il m'a quitté. Pourquoi ? Parce qu'il sortait d'une relation où il avait pratiquement mis au monde le bébé de son amoureuse, s'était donné corps et âme à cette femme et son bébé comme si c'était le sien puis avait eu le cœur explosé quand elle l'avait quitté.  Ce bébé qui n'était pas le sien, il ne le reverrait jamais et elle le lui avait bien fait comprendre.

Le fait que je sois moi-même mère l'a tout simplement terrifié. Quand est venu le temps de le présenter à mes enfants, après un peu plus de 2 mois de fréquentation, il a paniqué. Il ne voulait plus prendre la chance de s'attacher à des enfants pour devoir,  peut-être un jour, avoir à leur dire Adieu. Mes pleurs et mes explications n'ont rien pu y faire, il m'a quitté et moi j'ai eu une craque de plus dans mon cœur. Je comprenais mais j'avais mal quand même, parce que le cœur s'en fout pas mal de la raison.

Quand une amie, en peine d'amour elle aussi, m'a proposé d'aller oublier ça sous les palmiers dans le sud, j'ai sauté sur l'occasion puis sur l'avion et quelques semaine plus tard nous étions sur la plage en République Dominicaine, avec de la crème solaire pour protéger notre peau et des mots positifs et plein d'espoir l'une pour l'autre pour protéger notre capacité à aimer

Après à peine 2 jours, on connaissait pas mal tout le staff du resort. Deux belles filles seules dans un tout inclus, ça comprend vite que ça n'aura pas à faire grand chose pour que tout, réellement tout soit inclus. Il y avait ce jeune homme à la sécurité. Trop gentil, trop cute, trop de service et tellement clairement intéressé par moi. Oui, je le sais que dans le sud, le staff est intéressé par à peu près tout ce qui bouge et qui a un passeport étranger mais il se passait quelque chose de plus entre nous deux.  Un poquito je pense.Vers la fin des vacances,  j'ai finalement j'ai décidé que j'avais assez résisté à mes envies, que j'étais une grande fille et que je pouvais bien faire ce que je voulais. J'étais majeure, vaccinée et célibataire après tout!

vendredi 14 mars 2014

C'est ma vente d'après Noël!



 Le bonheur (et parfois le malheur) d'être pas mal lue sur le web, c'est d'avoir de plus en plus de "fans".
De ma courte expérience, je constate qu'il y a 3 sortes de fans :

1 - ceux qui t'aiment et te le disent (comme un sauna de l'émotion tellement ça t'réchauffe le cœur)

2 - ceux qui  ne t'aiment pas et te le disent aussi (parce que, comme le disait le Dalaï LaMarde,  c'est important de prendre le temps de dire "Aye! Toi j't'haïs" et de sortir le méchant en le vomissant sur la personne que t'aime pas)

3 - et ceux qui t'aiment un peu trop mais qui, tout d'un coup, te détestent parce que tu ne les aime pas assez en retour à leur goût.

J'ai eu droit à ce genre d'amour-haine là cette semaine.  Un gars que je ne nommerai pas, même si c'est tentant comme du gâteau chocolat avec du fudge qui coule dessus (parce que comme pour le gâteau, je vais culpabiliser en fou après), s'est mis à m'écrire sur ma page personnelle et à me faire des invitations assez intenses du genre  :
" Je veux VRAIMENT te rencontrer, je veux t’emmener au restaurant, choisis la place et je t'emmène, tu ne le regretteras pas, je suis PAS un WEIRDO alors allez dis oui svp réponds moi".

Avouez que ça aussi, c'est tentant.

lundi 10 mars 2014

Entrevue : Hommes à parier !

Anik Lessard
J'ai récemment rencontré la co-auteur du tout nouveau roman Hommes à parier, une trilogie humoristique, rédigée par Marie-Claude Martel et Anik Lessard, dans laquelle passion, pari, vengeance... et thérapie sont au rendez-vous !

Voici le compte-rendu de mon entrevue avec Anik Lessard, une ex-célibataire qui a beaucoup d'humour!

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MVADM : Bonjour Anik, bravo pour la sortie de votre livre, à Marie-Claude et à toi. Tout d'abord, d'où vous est venue l'inspiration de ce roman?

Anik Lessard: Marie-Claude et moi on se connait depuis la maternelle, on s'est perdues de vue puis retrouvées dans un souper de filles de notre ville natale, Thetford Mines. Elle me disait qu'elle souhaitait écrire un livre et j'ai dit "Pourquoi on ne le ferait pas ensemble?". Je venais de retomber sur le marché du célibat, elle était célibataire depuis très longtemps, j'ai trois enfants, elle n'en a pas et n'en veut pas, on avait donc deux contextes de vie très différents. On s'est dit que ça pourrait être intéressant d'avoir deux personnages opposés qui se rejoignent dans leur quête de l'homme. On est parties de nos contextes de vie pour faire une œuvre de fiction.

MVADM : Comment ça ce passe au juste, écrire un  livre à 4 mains?

A.L. : Au départ, on pensait faire un recueil de petits chapitres de rencontres, qui se succèdent, chacune de nous deux partant d'un personnage déterminé. On s'envoyait nos textes par courriel, on commentait et on corrigeait puis on s'est rendues compte qu'il y avait probablement le potentiel de tourner ça en roman. On a rajouté un fil conducteur, des personnages secondaires et ça a finalement donné un roman! Ou plutôt trois, puisque qu'il y a 3 tomes en tout.

MVADM : Vous écriviez sur la recherche de l'amour, d'un partenaire, et en le faisant, vous êtes devenues partenaires d'écriture. Comment s'est déroulé le partenariat? Avez-vous alterné entre la nuit de noces et les petites chicanes de couple?

mercredi 5 mars 2014

S'aimer soi-même. Littéralement.


Quand on est célibataire, une fois couché(e) et au lit, on est généralement seul(e). À moins d'avoir un (ou 33 ) chats.

Mais dormir en solo, ça ne veut pas forcément dire avoir une vie sexuelle inexistante. Comment dire...
Je vais essayer de trouver une analogie pour vous emmener doucement dans le sujet...
Ah oui, je sais!

T'as pas de partenaire pour pratiquer ton revers de tennis? Pourquoi t'irais pas faire un peu de "balle au mur" histoire de ne pas perdre la main?

NON, on ne parle pas de Wimbledon, OUI, on jase masturbation. Parce que si en plus d'être célibataire on se prive de sexe, c'est pour une "vie" de marde qu'on s'enligne. La frustration sexuelle, ça fait bien à personne. Pas pour rien qu'on empêche les boxeurs d'avoir des relations sexuelles dans les jours précédant un combat. Un manque de sexe peut mener à une frustration qui pourrait faire avancer bien des choses si c'était branché sur un dynamo!

Mais on le sait, la masturbation, c'est mal.

Oh! Pardon! Pendant 2 secondes je me pensais en 1940. Ok, on recommence.